Le présent document constitue un cadre pour la rédaction des consultations et des marchés relatifs à la construction de carrefours giratoires en béton. Il a été conçu pour s’adapter aux différents projets
L'orniérage est une dégradation qui affecte les structures bitumineuses et que l'on observe plus particulièrement sur des voies dont le revêtement est significativement sollicité,soit par l'importance du trafic lourd, soit par des conditions d'application de certaines charges roulantes, comme les bus par exemple. Afin de se prémunir durablement contre l'orniérage, qui constitue une dégradation dangereuse pour les usagers, surtout par temps de pluie à cause de l'effet d'aquaplanage, il est possible de recourir au BCMC, une technique d'entretien superficiel des structures bitumineuses.
Cette chaussée est constituée d'un revêtement en béton à joints goujonnés et d'une couche de fondation en grave-bitume. Elle allie avec efficacité les qualités des deux matériaux. Un choix qui s’inspire de celui du Puy-de-Dôme, qui avait déjà adopté le béton pour réaliser le giratoire de Billom en décembre 2016.
Après deux ans de travaux, la nouvelle plate-forme logistique des centres commerciaux Leclerc en Rhône-Alpes (Socara) est opérationnelle à Villette-d’Anthon (Isère), près de Lyon (Rhône).
Le nouveau marché d’intérêt national (MIN) de Nantes ouvrira ses portes début 2019. Une plate-forme traitée à la chaux et au liant hydraulique routier Rolac de Lafarge soutient ce nouveau complexe de 70 000 m² de surface plancher, construit sur 20 hectares de terrain.
La réussite d’un aménagement est rarement le fruit du hasard. L’aménagement doit être conduit dans le respect des règles de l’art, pour assurer sa qualité. Les règles de l’art sont les pratiques qui permettent de réaliser des ouvrages satisfaisant à l’usage et aux demandes du client. Tout acte de construire possède ses règles de l’art. Elles concernent d’abord la conception et la fabrication du mélange, l’exécution de l’ouvrage, sa protection contre les agressions de l’environnement, etc.
Pour qu’un réseau routier soit résilient face au changement climatique, il doit être capable de résister aux effets de l’augmentation de la température et des précipitations, et continuer de fonctionner de la même manière qu’avant la survenue de ces événements. Or, une route, dans sa conception classique, est particulièrement vulnérable au changement climatique.
L’étalement urbain et la densification des espaces déjà construits augmentent l’imperméabilisation des sols, accentuant ainsi les risques pour l’environnement. Ces phénomènes se concrétisent par des inondations plus fréquentes, en raison de la surcharge des réseaux et des vitesses de montée en charge des cours d’eau, ainsi que par une pollution des milieux récepteurs par lessivage. Au-delà de la gestion qualitative et quantitative de l’eau, l’imperméabilisation des sols dans les zones urbaines entraîne une diminution de l’évapotranspiration.