Résumé

Si l’on veut bien en exploiter toutes les possibilités, il peut conduire à des économies notables sur les matériaux et donc sur les ressources naturelles. Ainsi, il est possible d’améliorer la sécurité et la fiabilité et de garantir la durabilité des ouvrages. N’attendons pas 2010 pour commencer à l’utiliser, le site de formation via Internet BA-CORTEX en donne une excellente occasion.

Sommaire

  1. Hérault – Pont du Languedoc
  2. Dordogne – Viaduc de L’Elle
  3. Haute-Savoie – A 41 Nord
  4. La Réunion – Route des Tamarins
  5. BA-CORTEX
  6. LGV – Rhin-Rhône
  7. Oise – Viaduc de Compiègne
  8. Achères – Usine de traitement des eaux usées
  9. Architectes – et piles de ponts


0 commentaires
CAPTCHA
Voir aussi
  • Solutions béton
    Analyse du Cycle de Vie comparative de ponts
    L’Analyse du Cycle de Vie (ACV) est une méthode normalisée, quantitative, multiétape et multicritère qui permet de quantifier les impacts environnementaux et d’apprécier la qualité environnementale d’un ouvrage sur la totalité de son Cycle de Vie. La démarche a été appliquée au cas concret d’un pont courant en béton (Passage Supérieur en Dalle Précontrainte) représentatif du patrimoine des ouvrages d’art routiers et autoroutiers français puis à trois solutions alternatives : ouvrage PRAD, structure mixte Acier/Béton et structure mixte Bois/Béton.
  • Construction Moderne Ouvrages d'art
    Construction moderne Ouvrages d'art 2002
    De l’Antiquité à nos jours, les ponts ont tissé des liens par-dessus les multiples obstacles dressés par la nature. Nombre de ces ponts, témoins du génie constructif de nos ancêtres, font aujourd’hui partie intégrante du patrimoine commun. On peut en dire autant du béton, qui, de par ses qualités techniques et plastiques, offre de multiples solutions permettant de construire, mais aussi de rénover et d’adapter ces ouvrages aux conditions d’utilisation actuelles.
  • Passerelle des Anges : technologies du futur pour site remarquable du patrimoine
    La construction de la passerelle des Anges a été réalisée dans le cadre du projet d’aménagement d’un « Grand Site » classé au Patrimoine de l’Humanité par l’Unesco, dans les gorges de l’Hérault. Le site imposait des méthodes de construction discrètes et rapides, respectant la faune endémique et les grands arbres.