Le traitement des sols en place aux LHR 

Pour confectionner des plates-formes support de chaussées performantes, durables et respectueuses de l’environnement :

• Strasbourg Bas-Rhin (67).
Traitement des loess et des lehms pour les travaux de terrassements du contournement ouest de Strasbourg.

Le retraitement des chaussées en place aux LHR

Pour entretenir structurellement les chaussées anciennes fatiguées :

• RD25 / Ainvelle-Senaide Vosges (88).
RD25 : calibrage et retraitement de la chaussée en place au LHR.

L’utilisation du béton

Illustrée par deux reportages de chantiers montrant la diversité des typologies de structures utilisées :

• Fleury-les-Aubrais Loiret (45).
Aménagement qualitatif de la ZAC Interives 1 de Fleury- Les-Aubrais.

• Aire de la Grolle Charente (16).
Une aire de repos innovante associant valorisation des sols en place et chaussée composite BC5g/GB3.

Nous sommes sûrs que vous saurez apprécier ces quatre projets montrant toutes les potentialités dans l’utilisation des LHR et des bétons pour construire, entretenir et aménager les infrastructures de la mobilité de demain. Vous pouvez, bien entendu, retrouver l’ensemble des reportages Routes et des cahiers techniques sur infociments.fr/publications/routes.



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  • REVUE
    Routes Info n°4
    Au sud de la Seine-et-Marne, la RD36a est un axe essentiel pour la vie locale (agriculture, transports scolaires, transit de poids lourds). Plutôt que d’effectuer une réparation partielle, comment rénover complètement cette voie, le plus rapidement possible, en limitant les nuisances et en respectant l’environnement ? Réponse : grâce au retraitement à froid au liant hydraulique. Démonstration.
  • Revue
    Routes Info n°36
    Depuis leur apparition en France au début du 20e siècle, les chaussées en béton ont sans cesse évolué dans leur conception et dans les règles de l’art spécifiques qui les régissent. Ainsi, d’une structure de chaussée constituée d’une seule couche de béton et rythmée par des joints de dilatation séparant de longues dalles armées ou non, la technique a évolué, petit à petit, pour atteindre, vers les années 1980/1990, une structure comprenant en principe deux couches (revêtement en béton sur fondation en matériau traité au liant hydraulique), dont l’interface est volontairement décollée à la construction afin de se prémunir contre les remontées en surface du revêtement, des fissures de retrait de la fondation.