Résumé

Le béton résiste au temps qu’il fait et au temps qui passe. Mais les ouvrages en béton peuvent nécessiter des opérations de réparation ou de renforcement pour augmenter leur durée d’utilisation ou offrir de nouvelles fonctionnalités. De nombreuses solutions techniques sont disponibles et maîtrisées, elles ont fait la preuve de leur efficacité et répondent à l’ensemble des problèmes potentiels rencontrés sur les matériaux ou sur les structures. Il convient de choisir la solution technique adaptée à la pathologie à traiter, après un diagnostic complet et précis des désordres, de leurs causes et de leurs évolutions.

Sommaire

  1. Principes clés - Les guides du STRRES
  2. Réparation des désordres superficiels - Traitement des fissures
  3. Réparation et renforcement des structures par des armatures passives additionnelles
  4. Renforcement des structures par précontrainte additionnelle
  5. Protection des bétons par application de produits à la surface du parement
  6. Béton projeté
  7. Réparation des ouvrages en béton armé dégradés par corrosion des armatures
  8. Réparation et renforcement des structures en béton au moyen de matériaux composites


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Voir aussi
  • Construction Moderne Ouvrages d'art
    Construction moderne Ouvrages d'art 2007
    Jusqu’à un passé récent,le maître mot en construction des structures était “résistance”. Depuis quelques années,le terme “durabilité” est venu s’ajouter aux objectifs de conception des ouvrages,engendrant ainsi une évolution dans les choix de matériaux,les types de structure,les détails constructifs et les méthodes de maintenance.Même si nos prédécesseurs ont cherché à fabriquer des bétons compacts – ce qui nous vaut de conserver un patrimoine en béton dans un état de qualité supérieur à celui de nombre d’autres pays –,le souci de la durabilité a substantiellement modifié l’offre des bétons modernes en génie civil,et l’approche performantielle actuellement en cours de développement va certainement amplifier ce changement.
  • GÉNIE CIVIL
    Ponts à haubans
    Le tablier des ponts à haubans est soutenu par une ou deux nappes de câbles (appelés haubans) accrochés à des pylônes. Le principe de ce type d’ouvrage est ancien. Albert CAQUOT en 1950 à Pierrelatte, Jean MULLER en 1975 au pont de Brotonne, ont contribué au développement de cette technique qui, en France, a abouti avec Michel VIRLOGEUX à la réalisation du pont de Normandie, puis du viaduc de Millau.