Sommaire

  1. Situation
  2. État des lieux
  3. Un projet de deux lots de réhabilitation
  4. Mise en œuvre
  5. Étapes de réalisation des travaux
  6. Retraitement au LHR ROC VDS
  7. ROC VDS : un liant hydraulique routier performant
  8. Bilan
  9. Réouverture à la circulation


0 commentaires
CAPTCHA
Voir aussi
  • Revue
    Routes Info n°34
    La dernière phase de l’aménagement des berges du canal Saint-Denis sera prochainement inaugurée par Plaine Commune. D’une superficie d’environ 24 000 m2, ce chantier a été réalisé par un groupement d’entreprises, constitué d’Eurovia – mandataire, chargée des travaux de terrassement, de pavage et de génie civil sur les secteurs 1 et 2, de Dubrac, chargée des travaux de terrassements, de pavage et de génie civil sur le secteur 3 et Sols IDF, sous-traitant d’Eurovia et de Dubrac en charge de la réalisation des revêtements en béton. Ces entreprises ont travaillé sous la maîtrise d’œuvre de Gautier + Conquet Puma, agence d’architecture et de paysage mandataire, et du bureau d’études OGI (VRD).
  • Revue
    Routes Info n°35
    Après un premier chantier lancé en 2018 sur la RD7, entre Blanzay et Brux, le conseil départemental de la Vienne a récidivé en 2022 avec un chantier de retraitement de chaussée en place au liant hydraulique routier sur la RD7, à Brux. Celui-ci a été réalisé par Colas en faisant appel au liant hydraulique routier Ligex M10, fabriqué et fourni par Heidelberg Materials. Cette solution sans évacuation de matériaux a permis de répondre au cahier des charges (élargissement de la route, renforcement et homogénéisation de sa structure), en valorisant le patrimoine routier du site tout en réduisant les impacts sur l’environnement.
  • Revue
    Routes Info n°36
    Depuis leur apparition en France au début du 20e siècle, les chaussées en béton ont sans cesse évolué dans leur conception et dans les règles de l’art spécifiques qui les régissent. Ainsi, d’une structure de chaussée constituée d’une seule couche de béton et rythmée par des joints de dilatation séparant de longues dalles armées ou non, la technique a évolué, petit à petit, pour atteindre, vers les années 1980/1990, une structure comprenant en principe deux couches (revêtement en béton sur fondation en matériau traité au liant hydraulique), dont l’interface est volontairement décollée à la construction afin de se prémunir contre les remontées en surface du revêtement, des fissures de retrait de la fondation.